Avez-eu déjà l’impression au cours d’une journée de répéter 432 fois les mêmes choses pour rien car vos enfants semblent avoir décidé de ne PAS vous écouter…
Vous êtes à bout. Vous ne savez plus comment faire pour obtenir leur coopération et qu’ils vous écoutent enfin sans que vous ayez à hurler comme une hystérique.
Vous vous sentez lasse. Vous avez bien essayé quelques astuces mais cela a marché une fois ou deux et puis hop c’est reparti ! Cela joue sûrement sur votre moral, vous êtes complètement démotivée.
Vous vous sentez impuissante. Vous avez l’impression que si vous ne leur rugissez pas dessus comme une lionne enragée, vous n’obtenez pas de résultat.
Cela est usant pour vous, ça vous pompe toute votre énergie dans votre quotidien. Et en prime vous culpabilisez de perdre le contrôle de vous-même…pas facile !
Trop c’est trop pour vous! Vous n’aimez pas cette sensation de ne pas vous sentir respectée…
Je vais vous montrer un chemin à suivre pour vous aider à obtenir une meilleure écoute de la part de vos ptits loups…
Nous allons y aller étape par étape et au bout de notre route je vous souhaite de retrouver la joie de partager le quotidien avec vos petits anges qui semblent parfois si rebelles…
Albert Einstein disait « La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent »
Alors en avant pour le changement !
Vous êtes partantes ? On y va !
Et si cela n’en valait pas la peine ?
Vous vous demandez si cela vaut le coup de tenter autre chose. Vous avez peut-être l’impression que c’est peine perdue. Vous vous dites que dans quelques années cela ira mieux et vous prenez votre mal en patience.
Voici les raisons qui vont vous convaincre d’aller explorer ce nouveau chemin que je vous propose :
Ici vous êtes sur un blog dédié à votre bien-être, les mamans.
Cela passe par la nécessité de penser à vous, de prendre soin de vous, de votre santé, de votre sommeil et de votre moral…dans le but de vous sentir épanouie et radieuse…Je vous le souhaite de tout cœur.
Or lorsque vous passez votre journée à répéter, à crier, à vous impatienter, à vous agacer, vous accumulez de la frustration et de la colère. La maman radieuse et épanouie est bien loin…
Alors je veux vous aider à ramener cette maman radieuse dans vos vies, en appliquant des méthodes pour obtenir l’écoute de vos enfants d’une manière reposante pour vos nerfs 😉
Au préalable, prendre en compte les étapes du développement de votre enfant :
Vous ne pourrez pas exiger la même écoute de la part de votre aîné de 7 ans ou de votre petit dernier de 18 mois.
Par exemple, à 18 mois, si votre enfant n’exécute pas votre consigne, cela ne sera pas pour vous provoquer mais tout simplement car il est possible que son cerveau ne soit pas assez développé pour en comprendre le sens.
J’imagine que vous en avez déjà conscience mais c’est important de le rappeler car parfois, pris dans la spirale du quotidien, on en oublie les fondamentaux. 😉
Étape 1) : Prenez la résolution de ne plus répéter :
Je crois qu’on a toutes prononcées une phrase du genre :« ça fait 10 fois que je te demande de venir à table ! » ou encore « j’en ai marre de répéter, tu mets tes chaussures maintenant ! »…oui je suis sûre que cela vous parle.;-)
Pour quelles raisons vaut-il mieux arrêter de répéter ?
- Par respect pour vous. Vous ne méritez pas ça.
- Pour économiser votre énergie. C’est usant avouons-le.
- Par respect envers vos enfants. Mettez-vous à sa place quelques secondes : au travail, votre supérieur hiérarchique vous répète 6 fois une instruction, quel sentiment éprouvez-vous alors : De la gratitude ou du mépris ? Pourquoi en serait-il autrement pour nos enfants ?
Vous aimeriez ne plus avoir à répéter 20 fois chaque demande ou consigne ?
Quelles sont donc les alternatives ? Voyons-cela dans les prochaines étapes.
Étape 2) : Sortir du rapport de force :
Faute de connaître des alternatives mais aussi parce-que 95% d’entre nous n’avons connu que ce modèle éducatif (de la part des parents, enseignants et autres personnels de la petite enfance), nous entrons souvent dans le rapport de force avec nos enfants pour obtenir leur coopération et qu’ils répondent à nos attentes.
Nous sommes en quelque sorte pré-programmées pour agir ainsi.
Le parent se transforme alors en dominant et l’enfant en dominé…
Votre état de stress et de fatigue vient souvent accentuer cette façon de faire.
Comment se manifeste ce rapport de force ?
- Votre enfant ne veut pas arrêter son jeu pour aller au bain.
- Votre enfant n’arrête pas ses tours de toboggan alors que c’est l’heure de rentrer
- Votre enfant refuse de ranger sa chambre
- Votre enfant refuse d’arrêter son jeu vidéo pour venir à table
Vous lui avez répété 10 fois votre consigne sans succès alors vous sortez la carte « rapport de force » :
Les ordres, les jugements, les cris, le chantage, les menaces, les intimidations, les leçons de morale voire la fessée ou les punitions.
Bam ! Le cercle vicieux est enclenché..
Je ne vous blâme pas. Je ne suis pas une maman parfaite non plus (elle n’existe pas d’ailleurs ). Et puis vous avez vos limites. Pourtant ces luttes de pouvoir sont à éviter autant que possible.
Pourquoi cela est nocif pour vos enfants mais aussi pour vous ?
- Pour votre enfant :
- il n’apprend pas les valeurs d’altruisme, de respect et de bienveillance.
- Cela l’empêche de construire correctement son estime de lui-même.
- Pour vous les mamans :
- cela abîme la relation avec votre enfant et je suis sûre que ce n’est pas ce que vous voulez.
- Cela entraîne parfois un comportement exactement opposé à celui recherché. L’enfant se braque et vous ne pouvez plus rien obtenir de lui.
- Cette façon de communiquer et d’interagir avec votre enfant basée sur le pouvoir est tellement source de tensions pour vous…adieu la joie, les sourires, les moments complices dans ce type de communication.
Agissez maintenant ! Gagnez en coopération, respect et sérénité ! Vous le méritez !
Place aux alternatives pour établir une relation basée sur le respect et la confiance des deux côtés. :-))
Étape 3) Capter efficacement l’attention de votre enfant et le prévenir à l’avance :
Capter leur attention :
Quand les enfants sont dans une activité (un jeu, du coloriage, un moment de partage avec leur frère, sœur ou un ami ), ils sont complètement absorbés par ce qu’ils font, ils vivent le moment présent de manière bien plus intense que nous.
Donc, si à ce moment là, vous souhaitez leur demander quelque chose (venir mettre la table, prendre le bain ou la douche par exemple), évitez de le faire d’une autre pièce et venez les voir dans le but de vraiment attirer leur attention.
Avec les plus petits, cela se traduira par le fait de vous mettre à sa hauteur, de créer un contact physique avec votre enfant ( une douce caresse sur le visage par exemple) et de vous assurer qu’il vous regarde bien dans les yeux et finalement de lui faire votre demande.
Le prévenir à l’avance :
Pour éviter de crier et de stresser, le mieux est que lorsque vous souhaitez que votre enfant cesse une activité pour enchaîner sur autre chose (bain, repas, partir du parc, arrêter les jeux vidéos pour faire les devoirs), prévenez-le à l’avance ET assurez-vous bien d’avoir son approbation…
Il n’aura pas à s’exécuter à la minute alors qu’il est en pleine activité, cela lui laissera un peu de temps.
En effet mettons-nous un peu à la place de notre enfant.
Je vais pour cela vous citer un passage d’un article de l’auteur du chouette blog » papa positive » : « 8 précieux conseils pour que votre enfant vous écoute » : 👈 cliquez ici pour le consulter .
« si vous êtes occupée avec quelque chose que vous adorez faire et que votre conjoint vous demande d’arrêter pour faire quelque chose d’autre, que ressentirez-vous ?
C’est pourquoi il est important de faire preuve d’empathie « je sais que c’est difficile d’arrêter de jouer maintenant. Mais j’ai besoin que tu fasses… »
J’irais même plus loin.
Lorsque vous venez le voir pour lui faire votre demande, intéressez-vous à ce qu’il fait en lui posant des questions par exemple et en prenant le temps de l’observer.
Votre enfant se sentira pris en considération.
Puis vous enchaînez sur votre demande en lui disant que vous lui laissez un petit laps de temps.
Mais ce n’est pas tout, il y a d’autres choses à mettre en place et à éviter pour une meilleure écoute de votre ou vos enfants.
Étape 4) Une seule consigne à la fois et autres astuces super utiles
– Pourquoi une seule consigne ? Je vais vous expliquer :
- Le jeune enfant, surtout avant 6 ans, n’est pas câblé pour enregistrer une série de plusieurs consignes à la fois..
Concrètement « range tes chaussures, lave-toi les mains et viens à table », voici le truc à éviter.
Soit il va tout oublier soit au mieux il ne retiendra qu’une seule chose.
- On risque de provoquer l’effet cocotte minute chez notre enfant. Il se sentira sous pression. Donc se mettre à sa hauteur et lui énoncer notre unique consigne. Quand celle-ci est validée et appliquée on peut éventuellement passer à la suivante.
- Et maintenant, entre vous et moi, si vous gardiez vos consignes pour ce qui est vraiment important ? Je vous invite à lâcher-prise sur le reste…ça vous fera le plus grand bien.
– Autres astuces bien efficaces :
- Un seul mot
Au moment de partir par exemple, ce qui marche bien, au lieu du long discours moralisateur, c’est un seul mot, « chaussures », avec les plus petits surtout (fermement mais pas méchamment)
Ils s’éparpillent parfois alors cela les recadre et les aide. J’utilise souvent cette méthode qui est très efficace.
- Offrir des alternatives :
Elles sont géniales car elle donne du pouvoir personnel à l’enfant et il a un sentiment de liberté. Je les utilise régulièrement avec mes enfants.
C’est tout simple. « C’est l’heure du bain ma puce, préfères-tu jouer avec ta petite grenouille ou avec ta poupée ? »
C’est beaucoup plus fun pour l’enfant que « va au bain tout de suite » !
Et vous avez plus de chance qu’il vous écoute surtout si vous avez auparavant suivi les étapes précédentes.
- Poser des questions :
Au lieu de donner un ordre, poser une question.
J’adore, je le fais souvent, et ça marche ! « où mets-tu le verre sur la table pour ne pas qu’il tombe ? » (phrase que je dis à mon fils de 3 ans plutôt régulièrement)
Partons ensemble maintenant vers la prochaine étape qui est fondamentale.
Étape 5) Établir une communication saine avec ses enfants :
Mettre de la bienveillance dans notre communication, ce n’est pas forcément naturel pour nous, surtout avec nos enfants.
Parce-que clairement on n’en a pas l’habitude et, lorsque nous étions enfant, nos parents ont rarement pratiqué avec nous une communication saine appelée aussi communication non violente (CNV)…Ne les blâmons pas, ils ont fait avec ce qu’ils connaissaient eux-mêmes et sans toutes les informations dont on dispose aujourd’hui, notamment les découvertes des neurosciences affectives concernant le fonctionnement du cerveau des enfants.
Et pourtant ça vaut le coup de vous y mettre, la relation avec vos enfants en sortira grandie et de plus au quotidien, c’est tellement plus épanouissant pour vous, la maman.
De mon côté, j’y travaille, ce n’est pas gagné tous les jours mais je suis en chemin.
Regardez, je vais vous donner quelques pistes essentielles :
- A bannir. Les « tu » accusateurs. « tu es vraiment.. » « tu ne fais jamais.. » Ils jugent, accusent et ne donnent pas du tout mais du tout envie de coopérer.
A remplacer par les messages « je » .
Alors là je vous dis tout de suite, ce n’est pas naturel pour nous au début de s’exprimer comme ça. On se sent un peu bête, comme si on récitait un texte.
Comment s’exprimer en message « je » ? : un super moyen mémo-technique, l’acronyme O.S.B.D:
Cela veut dire Observation. Sentiment. Besoin. Demande.
Ce n’est pas moi qui ai inventé ces 4 étapes mais Marshall Rosenberg, le fondateur de la CNV.
Avec votre enfant, voilà ce que cela peut donner concrètement :
« Quand je te vois courir dans le salon et crier (exposer les faits sans juger), je me sens agacée (on met des mots sur notre ressenti) car j’ai besoin de calme (décrire votre besoin) alors j’aimerais que tu ailles jouer dans ta chambre » (citer la demande (et non l’exigence) qui viendra satisfaire votre besoin).
Ces 4 temps dans la communication transforment le conflit en dialogue et sont mille fois plus éducatifs que des ordres.
Personne n’aime les ordres.
En cas d’impasse,vous pourriez chercher une solution ensemble. Avec les plus grands, c’est intéressant à essayer.
Pour une meilleure compréhension de la nocivité des « tu » accusateurs et de l’utilité des messages « je », je vous invite vivement à parcourir l’article : « comment parler pour que les enfants écoutent » du blog parentalité pas à pas. Il est très explicite avec de jolies illustrations.
- Place à une communication respectueuse :
C’est important. Pas de long discours. Juste des exemples, 3 ou 4.
Au lieu de « arrête de taper!» : « les mains sont faites pour caresser, comment pourrais-tu exprimer ta colère autrement ? »
Au lieu de « Taisez-vous !» « j’ai besoin de calme, et si on jouait au prince et à la princesse du silence durant 4 minutes (pas plus…faut pas rêver… cela ne marchera pas ! ), ok ? On y va! »
Au lieu de « dépêche-toi » (on adooore ce mot les mamans) « nous partons dans 5 minutes »
- Un dernier point très important sur cette façon de communiquer: Faire une pause quand on n’arrive plus à communiquer calmement. Faites redescendre la pression. Allez boire un verre d’eau par petites gorgées, allez vous aérer quelques minutes, enclenchez une petite série de respirations. A vous de choisir ce qui vous convient le mieux.
Communiquer de manière saine et positive est un état d’esprit à adopter qui nous fera nous sentir mieux.
On se parle à soi souvent négativement, préférons les affirmations positives (« je mérite le meilleur » par exemple).
De même avec nos enfants, parlons positivement.
Nous sommes presque au bout de notre voyage, une dernière étape avant la fin de la destination.
Elle vaut le coup, car elle vous fera du bien et amènera de la joie dans vos vies.
Étape 6) Adoptez l´humour, le lâcher-prise, soyez créative et rendez la vie avec vos enfants plus ludique :
Je peux vous donner des suggestions mais je vous invite à retrouver votre âme d’enfant pour trouver plein d’idées géniales.
Voici quelques astuces sympas en vrac :
- Vous pouvez coller des petits mots avec des illustrations. Pour le rangement des chaussures, pour le lavage des mains…
- Vous pouvez utiliser le minuteur « allez on se donne 5 minutes pour tout ranger dans votre chambre »
- Rendre ludique ce que l’enfant voit comme une contrainte – « il nous faudrait un super héros pour ranger ces jouets en moins de 30 secondes ! «
– Aller au bain en faisant l’avion. ( être maman c’est ne plus avoir peur du ridicule!)
Remettez de la joie dans votre rôle de maman, lâchez prise sur ce qui n’est pas essentiel, pour de nouveau apprécier d’être en famille, de partager des moments simples mais précieux.
Vous êtes actuellement dans une situation assez peu confortable, devoir répéter 50 fois par jour les mêmes consignes, demandes..c’est désagréable et énervant.
Je vous ai présenté un certain nombre d’étapes pour obtenir une meilleure coopération de la part de vos enfants.
Si vous vous engagez sur ce chemin, en franchissant peu à peu chacune de ces étapes, vous allez voir une transformation s’opérer chez vos enfants, ils seront plus motivés pour coopérer et vous écouter.
Oui, vous allez y gagner en sérénité. Non, ce n’est pas magique. Il y aura des jours sans. Pour moi aussi c’est le cas.
La vie avec des enfants n’est pas un long fleuve tranquille.
Il y aura des moments où vous serez trop fatiguée pour mettre en place une communication saine et bienveillante. Pardonnez-vous. Vous êtes en chemin, c’est l’essentiel.
Il y aura d’autres moments où vous aurez emprunté le bon chemin mais vos enfants n’y seront pas sensibles car cela sera leur tour d’être fatigués ou d’avoir eu une mauvaise journée à l’école par exemple.
Alors pour répondre à ces moments de fatigue et de lassitude des uns et des autres, remplissez RÉGULIÈREMENT vos réservoirs affectifs :
- Le vôtre en écoutant vos propres besoins (faim, sommeil, une petite méditation, voir des amis, un moment de qualité avec votre conjoint…)
- Celui de votre enfant (un moment de jeu dans la complicité juste lui et vous, lui donner de la tendresse, écouter attentivement ce qui le contrarie ou l’inquiète…)
Le changement d’itinéraire vaut la peine alors je vous invite à prendre la résolution de franchir les deux premières étapes dans les jours à venir…vous mettrez ensuite en place les autres comme solution de remplacement.
Je vous invite à me dire en bas en commentaire ce que vous avez tenté de mettre en place pour une meilleure écoute et coopération de votre ou de vos enfants. ⬇️
Bonne route vers plus de sérénité dans votre quotidien !
Milles Mercis Karen pour ce ✨blog✨qui arrive au bon moment dans ma vie de maman un peu fatiguée et dépassée parfois par l’évolution et les petites révolutions de ma fille ( 2ans et demi).
Hier soir, c’était la crise de larmes et de nerfs: elle ne voulait pas se coucher et réclamait un dessin animé, en hurlant ,enroulé dans sa couverture sur le canapé..aucune de nos argumentations calmes ne fonctionnaient, on commençait à perdre patience..et là, le déclic, dans ma tête, les 3 coups de théâtre ont frappé : sur le ton de la surprise ,j’ai commencé à la décrire comme un appétissant rouleau à la myrtille…elle a commencé à se calmer! je l’ai porté jusqu’à la chambre , j’ai continué de jouer à la cuisinière ,en lui mettant le pyjama, chaque mouvement devenait une technique ou un ingrédient de cuisine, elle a beaucoup ri ,jusqu’à la cuisson sous la couette chaude ! Grâce à ce surprenant détournement d’attention, on a finalement passé un joyeux moment de complicité et sauvé notre soirée!! Encore merci ,tes conseils m’ont inspirés !
Bonjour Amande, je te remercie beaucoup pour ton message très touchant. 🙏
Je suis ravie que tu aies pu trouver une issue favorable à cette impasse avec ta fille. Et je suis contente de voir que mes suggestions t’aient inspirées. De ton côté tu as une belle imagination, j’aime bien ton idée ! En tout cas il est clair qu’avec le jeu et l’imaginaire, on peut dénouer beaucoup de situations avec nos enfants. Bonne continuation à toi. 😊
Oh très dure pour le moi en ce moment c’est melle me tape claque la porte et me hurle dessus
Oh très dure pour le moi en ce moment c’est melle me tape claque la porte et me hurle dessus
Elle se permet d’exprimer ses émotions et ses soucis face à vous, c’est une marque de confiance mais c’est vrai que cela est souvent dur à supporter et à gérer. Bon courage.