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Vous l’avez déjà ressentie.

À de multiples reprises.

Ce sentiment de culpabilité . Il semble vous coller aux basques depuis…

…la naissance de votre premier enfant ?

Je parie que oui !

Culpabilité et maternité ça rime non ?

Flash Back. Naissance de ma fille, mon premier enfant.

Bam ! Au bout de 4 jours, je la ressens dans mes tripes cette culpabilité.

Elle ne se réveillait plus la nuit pour têter…je n’avais aucune expérience, cela ne m’a pas inquiétée…jusqu’à la visite de la sage-femme qui me parle d’hypoglycémie…

Non seulement elle ne reprenait pas son poids de naissance (cela a duré au moins 10 jours ou plus je crois, ma mémoire me fait un peu défaut) mais elle en avait perdu !! Elle ne pesait que 2,4 kilos à la naissance donc elle n’avait pas trop de réserve !

Contrôle du poids chaque jour…et cette culpabilité qui me suivait…pourquoi donc ne l’avais-je pas stimulée la nuit pour têter me disais-je ?

J’étais entrée de plain- pied dans le monde de la maternité qui rime trop souvent avec culpabilité !

Bon, je vous rassure, ma fille, plusieurs années plus tard, va très bien, elle est biien énergique comme il faut et en pleine santé !

Et vous ?

Vous ressentez ce poids sur le coeur quand votre enfant est malade car la veille vous l’avez laissé jouer dehors sans écharpe malgré le vent ?

Et cette boule dans la gorge car vous posez votre enfant en pleurs à la crèche mais voilà vous devez aller travailler …

Ou encore, vous venez d’exploser sur votre petit dernier qui chouine depuis une demi-heure, qui ne vous lâche pas d’une semelle et qui finalement vient de taper sa soeur.

Trop c’est trop, la pression monte en vous, vous craquez, vous lui hurlez dessus…et puis finalement votre colère finit par s’estomper et là….elle fait son apparition…roulement de tambour…la culpabilité !! 😩

Restez avec moi. J’ai une bonne nouvelle 😃

OUI. On peut atténuer ce sentiment de culpabilité de manière à être plus apaisée au quotidien.

Comment ? en allant comprendre comment fonctionne cette culpabilité et en évitant de tomber dans certains travers.

Allez go ! Faisons rimer maternité avec (plus de) sérénité !! 😉

Et si ça n’en valait pas la peine?

Vous vous demandez si cela vaut la peine de faire l’effort de comprendre ce qui se cache derrière la culpabilité, de décortiquer tous ces processus..

Et pourtant…

Vous vous sentez dévalorisée.

Vous pensez être une mauvaise mère.

vous avez hurlé sur votre enfant et vous vous sentez mal maintenant.

Vous vous comparez aux autres mamans qui, elles, assurent (selon vous).

Vous ne vous sentez pas à la hauteur surtout après avoir lu un livre sur la parentalité positive…

Je vais vous montrer comment supprimer au maximum ces jugements négatifs sur vous-mêmes qui ne font que pomper votre énergie dont vous avez bien besoin au quotidien avec vos loulous…

Je vais vous guider vers plus de légèreté, plus d’épanouissement au quotidien. Comment ? En allant ensemble à la rencontre de la culpabilité maternelle et en allant diminuer son impact dans votre vie !

C’est tentant non ?

1ère étape : Distinguez la culpabilité saine de la culpabilité nocive :

Bon commençons par le commencement.

La culpabilité, c’est quoi au juste ?

C’est un sentiment de faute ressenti par quelqu’un que celle-ci soit réelle ou imaginaire…

Tiens, réelle ou imaginaire, c’est intéressant ça…

LA CULPABILITÉ SAINE :

Ici la « faute » est réelle.

Vous avez donné une fessée à votre enfant. Vous avez eu un geste brusque envers lui. Vous lui avez hurlé dessus.

Alors vous vous en voulez …vous culpabilisez.

Ce sentiment de culpabilité, dans un tel contexte, est sain.

C’est celui qui nous permet de réparer quand nous avons fait mal (au sens physique ou moral) à un enfant ou à quelqu’un de manière générale.

Donc pour savoir s’il s’agit d’un sentiment de culpabilité sain, se demander si on a réellement fait quelque chose qui ne va pas.

Comment guérir ce sentiment de culpabilité ?

RÉPARER 😉

Comment ?

Ce dont je vais vous parler est un protocole recommandé par Isabelle Filliozat.

💧 J’entre en empathie avec l’autre en imaginant ce qu’il a pu ressentir

💧 Quand je suis bien centrée, je vais voir mon enfant et je me mets à son écoute plutôt que de me justifier ou de m’excuser tout de suite.

Si notre enfant est petit, on peut mettre des mots sur ce qu’on pense qu’il a ressenti. On parle de l’autre, pas de nous.

Puis, on laisse l’enfant nous raconter sans se sentir attaquée.

Une vraie réparation, c’est alors reconnaître les émotions et le ressenti de l’autre.

Quand on se culpabilise, on reste centré sur soi.

Quand on répare, on reste centré sur l’autre.

Donc plus vous allez vous centrer sur votre enfant, moins vous allez vous centrer sur vous et plus vous allez réparer et moins vous vous sentirez coupable. 😀

Vous allez transformer la culpabilité en responsabilité !

Vous allez prendre la responsabilité de ce qui s’est passé et le reconnaître.

Finalement, ce sentiment de culapabilité sain est une bonne nouvelle !

Il favorise l’empathie. Celle-ci est nécessaire à notre sens moral pour distinguer le bien du mal.

Ce sentiment est sain et utile car il nous pousse à corriger certains de nos comportements, à nous améliorer, comme un levier pour aller vers le changement : Panser ses blessures du passé et/ou prendre soin de son état émotionnel actuel.

Temps pour le changement

Et pourtant…il y a un autre type de sentiment de culpabilité beaucoup plus insidieux.

LA CULPABILITÉ NOCIVE :

Elle n’est pas fondée sur une faute réelle.

Elle est inappropriée et vous porte préjudice.

Par exemple, vous culpabilisez car vous laissez votre enfant à la crèche pour aller travailler.

Ou de manière générale, vous vous sentez une mauvaise mère. Sans raison précise.

Ce type de culpabilité peut être un retournement contre soi-même de la colère.

Quelle colère ? Celle liée à une frustration, à un sentiment d’injustice, à la répression d’un besoin.

En fait comme cette colère ne peut être dite, vous la retournez contre vous-même.

La question à se poser ici est : est-ce que je me sens victime d’une situation ?

Comment guérir ce sentiment de culpabilité ?

Bienvenue à bord

Comme pour toutes les autres émotions, le mieux à faire est d’accueillir votre colère première.

Comment ?

💧 En l’éprouvant, en la ressentant dans votre corps, en décrivant comment elle se manifeste en vous. Vous lui laissez alors toute sa place.

Puis vous l’accueillez à bras ouvert en le lui disant dans votre tête (non non vous n’allez pas être ridicule 😉 )….jusqu’à vous sentir apaisée.

Vous faites alors une sorte de méditation active. C’est très puissant.

Vous pouvez évidemment la pratiquer régulièrement.

💧 Ensuite, faites une introspection pour savoir de quoi avez-vous besoin en ce moment ? où se situe votre frustration qui provoque peut-être cette colère ? Il s’agit d’une écoute de vos besoins les plus fondamentaux ou de vos désirs.

Dans la mesure du possible, tenter de combler vos besoins, de ne plus réprimer vos désirs et d’alléger vos frustrations.

Le fait de suivre ce processus devrait vous permettre d’atténuer votre sentiment de culpabilité nocif.

Cette culpabilité n’est pas constructive, elle occupe tout l’espace et peut vite vous anéantir complètement sur le plan moral.

Quant à la culpabilité saine, parfois malgré la réparation, on peut encore culpabiliser de commettre « trop » de fautes réelles.

Cela nous conduit directement à l’étape suivante 👇

Étape 2 : acceptez votre imperfection :

parfaitement imparfaite

La maman idéale n’existe pas.

Autant le savoir ET l’intégrer tout de suite dans votre esprit.

Faire toujours des repas équilibrés, avoir sa maison ou son appartement toujours propre et bien rangé, les vêtements des enfants toujours nickels, vous-même au top de forme, physiquement, moralement pour jouer avec vos enfants et accueillir sainement leurs débordements émotionnels et de surcroît gèrer son temps comme une pro…

Nan nan…c’est de la pure fiction !! ça n’existe pas !!

Pour les anciens fans de desperates housewives ( comme moi 😉 ) , vous aspireriez peut-être à être Bree Van De kamp :

Plutôt que Lynette …

😁 …et pourtant la première à trop vouloir être parfaite en devient complètement psychopate !

Évidemment c’est une série donc cela est caricatural mais le fond est intéressant à comprendre :

La quête de la perfection est illusoire et elle risque fortement de vous nuire car vous serez en permanence frustrée étant donnée qu’elle est inatteignable.

De plus, et c’est un point très important à souligner : votre quête illusoire de perfection peut aussi nuire à votre ou à vos enfants.

Ils auront tendance à la chercher à tout prix également, ce qui sera source de grandes tensions pour eux.

Donc selon moi, il y a deux étapes à suivre :

💧 Lâcher-prise sur son imperfection. L’admettre au plus profond de soi. Cela ne fait pas de vous une mauvaise mère pour autant.

💧 Faire de son mieux chaque jour

 🌈  Pour lâcher-prise sur son imperfection, il est important de ne plus être dans le contrôle permanent et de vouloir tout maîtriser ce qui se passe chez vous.

La vaisselle peut attendre un peu, le rangement des jouets pourra se faire plus tard, votre petit dernier peut s’entraîner à manger tout seul même si votre sol se transforme en garde-manger le temps du repas…etc..

Plus de cool attitude et de légèreté !! 😎😁

 🌈  Comment « faire de son mieux  » au juste ?

Dans le livre de Don Miguel Ruiz, les 4 accords toltèques, il s’agit de l’un des accords :

 » Faites toujours de votre mieux « 

❗️ ❕ Attention, bien distinguer « faire de votre mieux » et « faire le mieux possible ».

Nuance hyper importante !!

⭐️ Dans le premier cas, la référence c’est vous.

⭐️ Dans le deuxième cas, la référence c’est l’absolu, cela revient à être quasi parfaite et va génèrer beaucoup trop de pression, est impossible à atteindre donc trèees frustrant car un sentiment permanent d’insatisfaction…et de culpabilité vous envahit.

Donc faire de son mieux, selon le jour, votre contexte familial, la période du mois ( 😉 ) ce ne sera pas le même mieux…

Et oui cela dépendra de votre état émotionnel, physique, de votre contexte de vie du moment (si c’est le big love avec votre comapgnon ou si vous êtes entrain de vous séparer par exemple).

Ce « mieux » là n’est pas immuable, vous ferez « mieux de votre mieux » après une bonne nuit de sommeil par exemple qu’après une insomnie.

Ok.

Vous pouvez être fière de vous.

Vous apprenez à lâcher-prise, vous acceptez votre imperfection et pourtant, il y a encore des verrous à faire sauter pour alléger votre culpabilité…

Le mythe de la mère parfaite !! 😫

Étape 3 : détachez-vous du mythe de la mère parfaite :

C’est comme une transmission inter-générationnelle qui s’est faite malgré nous.

On doit être une femme respectable, belle de surcroît (mais avec les canons de la beauté imposés par la société), et bien sûr une bonne mère qui pense en premier aux autres avant de penser à soi.

Et puis souvent on n’ose pas trop se plaindre des difficultés que l’on rencontre dans notre rôle de maman.

A l’heure actuelle, il est aussi bien vu, en plus d’être une mère qui gère, une compagne et une amante au top, d’avoir une belle carrière professionnelle.

Alors quand vous flanchez, vous pouvez avoir tendance à culpabiliser et à vous auto-saboter car vous ne vous sentez pas à la hauteur.

Alors je vous invite à être vraiment fière de vous pour tout ce que vous arrivez à gérer dans vos 4 vies. 👏 💪 😊

Mais voilà il existe aussi autre chose qui a tendance à nous mettre la pression…ce nouveau courant de la parentalité (dont moi-même je vous parle régulièrement)…la fameuse parentalité positive qui nous propose tout un tas d’outils fabuleux pour arriver …à être une mère parfaite ??

Étape 4 : Mettez la parentalité positive à votre service :

La parentalité positive dite aussi éducation bienveillante propose une approche éducative qui n’est ni une éducation classique autoritaire faite de chantage, menaces, punitions, fessées, claques…ni une éducation laxiste où l’enfant est roi et le parent tout le temps lésé.

C’est une troisième voie.

Elle s’appuie beaucoup sur les travaux et les recherches des neurosciences concernant le développement du cerveau de l’enfant mais aussi sur le courant de pensée qui prône une façon de communiquer sainement appelée communication non violente dans laquelle la notion d’empathie (se mettre à la place de l’autre et de ce qu’il ressent ) a toute son importance.

Il existe de nombreux livres sur ce sujet.

Ils vous proposent tout un tas d’outils pour être capable de se mettre à l’écoute des besoins de son enfant, de savoir gérer leurs débordements émotionnels, de faire face aux disputes de vos enfants dans la bienveillance, les alternatives aux punitions…

Je les ai lu ces livres, beaucoup…

Mais voilà.

La culpabilité me prenait à la gorge…

Quand j’échouais. Que je m’énervais sur un de mes enfants. Que je n’arrivais pas à réguler leurs disputes. Que je ne restais pas bienveillante alors que mon fils mettait des heures à s’endormir le soir …

J’étais fatiguée, sur les nerfs et en plus je culpabilisais…bonjour l’angoisse.. 😰

Alors à bannir la parentalité positive ? Veut-elle faire de nous encore et encore des mères parfaites ?

Non. A garder. Elle est révolutionnaire pour moi. Elle peut créer des générations d’enfants bien équilibrés d’un point de vue émotionnel…

Elle peut aussi être épanouissante pour vous car elle vous invite à sortir du rapport de force…

En effet menacer, contraindre son enfant, le dominer…crée de la tension pour le parent mais en aucun cas ne l’épanouit..

Oui mais alors comment ne pas tomber dans le piège de la maman positive parfaite ?

L’idée est d’adopter l’état d’esprit de ce type d’éducation qui consiste à ne plus voir son enfant comme son ennemi qui fait des caprices à tout bout de champs pour vous embêter, comme une personne qui vous teste et vous défie en permanence, mais comme un petit être avec des besoins et un cerveau trèeees immature.

MAIS… ne l’oubliez pas, c’est une éducation basée sur l’empathie et l’écoute des besoins…

Donc mettez cette parentalité à VOTRE service en pratiquant l’auto-empathie et en étant à l’écoute de vos propres besoins.

La Clé pour ne PLUS SE METTRE la pression :

💙 Vous avez le droit à l’erreur 💙

Oui vous pouvez perdre pied face à des situations stressantes. Cela ne fait pas pour autant de vous une maman nulle et incapable.

Parfois vous réussirez à harmoniser les situations et à concilier les besoins de chacun parce-que vous serez en forme et apaisée mais d’autres fois, vous n’agirez pas comme vous auriez aimé le faire…vous êtes juste humaine pas une maman robot.

Vous avez commis des erreurs et vous en commentrez encore mais ce n’est pas grave.

Parfois vous êtes fatiguée, vous avez des contrariétés au travail, avec votre partenaire, une charge mentale qui explose…

… et puis parfois votre enfant vous challenge en vous faisant revivre des moments douloureux que vous avez vécu enfant…

Alors pardonnez-vous et aimez-vous 🥰

Vous pouvez ensuite prendre du recul et vous demandez ce que cette erreur peut vous apporter. Comme un levier pour vous améliorer..

Cette approche est beaucoup plus constructive que l’auto-sabotage. 😉

Ok on avance !! Peu à peu, le sentiment de culpabilité prend de moins en moins de place dans votre vie…

Oui mais voilà, vous ne vivez pas dans une bulle , il y a les autres et leurs jugements…

Étape 5 : Protégez-vous du jugement des autres :

Votre belle-mère qui vous envoie un pic en plein repas de noël sur votre façon de réagir face aux pleurs de votre enfant.

La mamie à la boulangerie qui s’en mêle en disant à votre fils à qui vous venez de refuser des bonbons et qui est en crise :  » mais tu es vilain, ce n’est pas beau la colère  » et qui vous regarde de travers car vous ne le réprimandez pas sévèrement.

Le fameux regard des autres et leurs attitudes parfois blessantes à votre égard.

Cela peut créer en vous de la confusion et renforcer votre sentiment de culpabilité (nocif car basé sur aucune faute de votre part)…

Est-ce important pour vous de ne plus vous sentir autant impacter par les jugements des autres ?

Alors voici la solution pour être moins atteinte :

💧 Prendre conscience que la relation avec vos enfants est quelque chose de tellement précieux.

A partir de là, vous serez motivée pour ne pas la laisser être gâchée par les commentaires des gens.

💧 Pour mieux y arriver, vous pouvez utiliser la technique de la coupelle face aux dires des gens.

Imaginez que vous avez devant vous une coupelle et tout ce qu’on vous dit tombe dans ce récipient et ne vous atteint plus en plein coeur.

💧 Cela dit ce peut-être une bonne occasion de s’affirmer face aux autres pour mettre en avant vos convictions profondes en matière éducative sans les accabler pour autant. 😉

Les autres vous jugent certes, mais parfois c’est VOUS qui vous jugez en vous comparant aux autres et vous culpabilisez car vous avez l’impression de ne pas vous en sortir en tant que mère par rapport à d’autres parents.

C’est la dernière étape de notre parcours d’exploration de la culpabilité maternelle.

Étape 6 : STOP aux comparaisons qui vous dévalorisent :

Là vous doutez vraiment…

Toutes ces mamans instagrameuses avec leurs photos super léchées dans leur maison super rangée avec leurs enfants aux vêtements super niiickels ….et elle n’ a même pas de cernes !!

Elle existe cette maman là ?

Je ne pense pas ou pas tous les jours.

Pour être franche avec vous, Instagram ce n’est pas trop mon truc. Je ne fréquente pas vraiment ce réseau social.

Les clichés d’instagram, c’est comme les bons vieux magazines présentant en couverture des femmes retouchées : à des années lumières de la réalité…ces clichés sont travaillés et retravaillés, et cela manque terriblement de spontanéité…que du fake, rien de vraiment réel..

Mais dans la vraie vie, il y a peut-être votre voisine avec ces 5 marmots toujours bien habillés et qui ressemble à la maman calme du sketch de Florence Foresti :

« Les devoirs, chez la maman calme, ça doit être « La Mélodie du bonheur »…

♫ Les enfants, sortez vos cahiers du soir et faites vos devoirs. Vous avez 30 minutes…
Rejoignez-nous pour le souper : j’ai fait une Mousseline… ♫ »

😂 🤣

Ce peut être angoissant et source de culpabilité de se comparer à ce type de maman !

En fait cela est inutile de se comparer. Peut-être cette maman a une femme de ménage, de l’aide de la famille et c’est pour ça qu’elle s’en sort mieux, tout simplement.

Bref, plutôt que de vous comparer dans le but de vous dénigrer, soyez fière de tout ce que vous faites en tant que maman.

Regardez tout ce que vous accomplissez chaque jour pour procurer du bien-être au quotidien à vos enfants.

Cet élan de compassion envers vous-même (vous « m’aime »😉 ) va vous procurer un sentiment d’apaisement et vous donnera envie de vous améliorer encore, il vous poussera vers le haut plutôt que de vous rabaisser.

Nous avons parcouru un beau chemin ensemble.

Certaines d’entre vous se sentent souvent envahies par ce sentiment de culpabilité, que vous ayez ou non « fauté ».

Vous pouvez diminuer ce sentiment en prenant conscience de chacune de ces étapes et en les intégrant dans votre mental.

Ce dernier ne doit plus vous dominer négativement. Vous pouvez le dompter en conscientisant toutes ses étapes.

OUI, vous êtes maman donc vous continuerez à vous culpabiliser mais que votre culpabilité soit juste un moteur pour vous améliorer et non pour vous enfoncer et saper votre estime de vous.

Alors commencez tout de suite par l’étape 1 en vous questionnant :

 » Qu’est-ce que je ressens le plus souvent : une culpabilité saine qui peut me faire avancer ou une culpabilité nocive qui me ronge de l’intérieur sans me faire évoluer ? « 

Je vous propose de me donner votre réponse en commentaire que vous laisserez un peu plus bas.

En route vers plus de légèreté au quotidien !!

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VOTRE MANUEL OFFERT
  • Vous vous sentez souvent agacée voire énervée face aux comportements les plus dérangeants de vos enfants
  • Vous aimeriez mieux comprendre les raisons principales de leurs comportements débordants
  • Vous oscillez entre laxisme et autoritarisme sans que cela ne vous convienne...
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